Jamais une élection présidentielle dans un pays démocratique n’a donné lieu à autant de controverses et rebondissements ni généré autant de passion et surtout de questions sur la fiabilité du système électoral américain que celle du président des Etats-Unis cette année 2020. Tout d’abord examinons les deux candidats en présence : d’un côté chez les démocrates, Joe Biden, un ancien vice-président avec 47 années d’expérience politicienne sans action mémorable et plutôt sénile (comme l’attestent ses nombreux oublis, trous de mémoire et lapsus), de l’autre chez les républicains, un président sortant, Donald Trump, un politicien novice venu du monde des affaires dont le bilan économique et diplomatique est reconnu positif même par ses adversaires quoiqu’à mi-mot. La forte victoire surprise de Trump en 2016 au détriment de Hillary Clinton donnée supergagnante par tous les sondages avait tellement déçu le parti démocrate qu’il n’a jamais accepté l’élection de ce néophyte en politique ni cessé de trouver le moyen de le déboulonner : après avoir poussé les électeurs démocrates à manifester bruyamment contre lui des mois entiers aux cris de « not my president », la chambre des députés à majorité démocrate sous la houlette de Nancy Pelosi lui a intenté sur des on-dit mensongers un procès d’impeachment indu et inutile aux frais du contribuable pendant trois ans de suite, tout en lui mettant les bâtons dans les roues pour le vote des mesures gouvernementales.
Ce procès finissant par un acquittement en pleine crise du coronavirus, les démocrates décident d’utiliser la pandémie pour attaquer le président pour cause de mauvaise gestion sanitaire, sans reconnaître qu’ils n’auraient pas mieux agi sinon en pire puisqu’au début ils ne croyaient pas au danger du virus chinois et encourageaient les attroupements – fin février Nancy Pelosi poussait encore ses concitoyens à sortir en dépit du coronavirus (en France c’est le couple Macron qui mars encore incitait les Français à aller au théâtre) – et traitaient Trump de raciste quand il interdisait dès le 31/1 l’entrée des Chinois non américains aux USA et mettait en quarantaine les Américains revenant de Wuhan.
C’est ainsi que durant la campagne électorale les démocrates ont insisté fortement sur ce reproche de mauvaise gestion sanitaire en proclamant que des milliers de morts auraient pu être évités si elle était meilleure (un si a posteriori imparable puisqu’invérifiable). Mais cet unique argument auquel les électeurs effrayés par la covid sont sensibles ne peut écraser les effets positifs de la bonne santé économique du pays malgré la pandémie, et la ferveur du peuple envers le président éclate au vu des foules immenses venues acclamer leur idole alors que Biden et Obama appelé à la rescousse attirent moins d’une centaine d’auditeurs : le même jour du 27/10 où le nombre de personnes venues écouter Biden, à Atlanta (Georgia), atteint son record de 771 individus, Trump amène à lui 29.000 personnes à Omaha (Nebraska) puis 10.000 à Lansing (Michigan). On ne peut arguer de la peur du coronavirus pour expliquer la paucité des démocrates aux réunions électorales de Biden, car quand il s’agit de se manifester pour soutenir les BlackLivesMatter ils n’ont pas hésité à sortir par milliers. Tout observateur extérieur constatant la différence de popularité entre les deux candidats aurait sans hésiter prédit une victoire aisée de Trump mais la réalité s’est révélée beaucoup plus compliquée.
Pour être au courant de l’élection présidentielle aux USA j’ai passé des nuits entières (et je continue tant que l’imbroglio n’est pas résolu) à écouter et lire tout ce je peux glaner là-dessus depuis près de deux mois. Dans mes recherches d’information, je me suis aperçue que tous les journalistes occidentaux en vue (même dans Le Figaro, journal réputé de droite en France, à l’exception le 2/11 de Scott Jennings, une star de CNN d’où il risque d’être renvoyé, cette chaîne étant particulièrement anti-Trump) se sont donné le mot pour dénigrer Trump sans fournir une seule preuve cohérente, ne se basant pas sur ses actions réelles mais sur leur allergie envers son caractère ou sa manière d’être ; par contre ils se font thuriféraires de Joe Biden, ne rapportent aucun fait négatif à son sujet : du 14 à la fin d’octobre le New York Post a publié des textes et photos démontrant la corruption de la famille Biden extraits de trois disques durs de Hunter Biden dont les milliers de mails et photos ont été authentifiés et reconnus comme tels par le FBI et le Ministère de la justice (le Ministère a ordonné une enquête qui sera sûrement arrêtée si Trump n’est pas réélu, d’autant plus que sans l’obtention d’une copie complète par Rudy Giuliani, l’avocat du président, le FBI qui dispose de ces documents depuis un an aurait continué de les dissimuler !) ; pour tout journal, les informations qui se trouvent dans ces pièces, corroborées par plusieurs sources concordantes (le fils Biden malgré lui, 2 des collaborateurs de ce dernier, la fille naturelle de l’ancien gouverneur du Sichuan, le gouvernement de l’Ukraine – l’histoire de ces documents est plutôt rocambolesque et inspirera sûrement bien d’écrivains) constituent un véritable scoop, mais à part le New York Post elles ont été systématiquement mis sous le boisseau par les media européens et américains (qui se taisent ou rejettent la nouvelle comme sujette à caution), les patrons de Tweeter et Facebook empêchant même tout lien (link) avec les articles du NYP (cf. http://geraldolivier.canalblog.com/archives/2020/10/30/38618789.html). Car outre les media traditionnels, les géants du Net (GAFAM) se sont mis dans la partie pour censurer tous les articles et vidéos louant Trump ou dénigrant Biden (des documents que je recherche ou que l’on m’envoie dans ce sens ne peuvent être ouverts) sous prétexte qu’il s’agit d’appel à la violence et de fake news, alors qu’ils en sont les propagateurs – par exemple avec CNN la fausse nouvelle de Melania Trump sur le point de quitter son mari parce qu’il s’entête à réclamer justice, ou avec Washington Post celle de la rétractation de Richard Hopkins, le postier qui a osé témoigné contre ses supérieurs coupables d’avoir ordonné l’antidatage des bulletins de vote arrivés après le 3/11, alors que ce témoin persiste dans ses accusations et dénonce les pressions de sa hiérarchie qui l’a ensuite licencié (cf. https://neonnettle.com/news/13205-pa-whistleblower-confirms-he-did-not-recant-testimony) -, Tweeter et Facebook se mettant même à censurer Trump. On ne trouve en anglais et français des nouvelles discordantes (différentes des présentations officielles ou politiquement « incorrectes ») que dans les blogs et vlogs de particuliers ou dans les media marginaux comme TV liberté, IMedia, Epoch Times, Breitbart…, et en vietnamien dans les journaux en ligne des Vietnamiens anticommunistes sérieux pro-Trump (Saïgon News, The Saïgon Post, Trần Nhật Phong, Đặng Thế Nguyên…), ou appartenant au groupe Epoch Media des falungong (DKN, HTD…) ; ces derniers, de par leur religion, sont honnêtes malgré leur parti-pris anti-PCC et donc pro-Trump. Le lendemain du vote, alors que de nombreux Etats n’ont pas fini de compter et qu’aucun Etat n’a officiellement déclaré la victoire du candidat démocrate, tous les grands media américains se sont concerté pour saluer la victoire de Joe Biden en donnant des résultats « projetés », nouvelle aussitôt répercutée par les grands media étrangers qui la prennent pour argent comptant, surtout que les sondages préélectoraux rapportés par les premiers donnent toujours Biden supergagnant . Ils ont si bien berné le monde que de nombreux chefs d’Etat sont tombés dans le panneau au point de féliciter aussitôt Joe Biden et sa colistière. Encouragé par ces vœux, le 7/11 ce dernier s’est auto-proclamé président devant ses partisans survoltés, poussant l’indécence jusqu’à réclamer tout de suite une passation de pouvoir que lui refuse Emily Murphy, la directrice de l’Administration fédérale (General services administration), seule habilitée à la permettre, au motif, en vertu du Presidental Transitions Act de 2000, que le résultat de l’élection n’est point reconnu par les instances officielles d’autant plus qu’il est objet de plaintes de la partie adverse ; sous la pression continue et les menaces des partisans de Biden elle lui a concédé le 23/11 l’accès à la partie économique de l’administration donnant droit à un budget de 7 millions tout en réitérant son ferme respect de la loi et de la constitution. S’il n’est pas confirmé président élu, sa précipitation à se faire adouber par des moyens dignes de la mafia pourra même le faire tomber sous le coup du Logan Act de 1799 qui condamne pour crime grave tout citoyen non mandaté cherchant à négocier avec les gouvernements étrangers, ce qu’il a fait en proposant des discussions sur le climat et la santé avec les dirigeants européens qui l’ont reconnu ! Cependant, intimidés par les media pro-Biden quelques collaborateurs et politiciens républicains (RP) tournent le dos à leur président Donald Trump, mais le vieux lion blessé ne se déclare pas vaincu et décide de porter plainte pour fraudes pour obliger les Etats à recompter et surtout vérifier les bulletins de vote pour cause d’irrégularités flagrantes dans le décompte des voix : représentants RP interdits d’inspection dans des fiefs démocrates (DC) au défi de la loi, bulletins trafiqués, décompte même des bulletins envoyés par la poste après la fermeture du vote dans la soirée du 3/11 et en l’absence de tout représentant du PR, … Veillant moi-même toute la nuit du 3/11, j’ai constaté l’anomalie d’un résultat montrant Trump mener largement dans la majorité des Etats et gagnant 290 points si l’on additionne tous les Etats entièrement rouges changer tout d’un coup complètement après un arrêt de comptage sans explication ou pour une vague raison technique d’une 1/2h environ, grâce à une remontée spectaculaire de Biden dans les districts où l’avance de Trump est trop grande ; ce changement justifié par l’arrivée de nombreux bulletins par la poste est d’autant plus troublant que le dépouillement tardif a eu lieu alors que les observateurs sont rentrés se coucher, que dans certains Etats comme le Michigan et la Pennsylvania la progression de Biden se fait en ligne verticale, c’est-à-dire que dans une masse de nouveaux bulletins, tous les votes sont favorables à Biden sans aucun pour Trump et les autres candidats, ce qui est une impossibilité statistique (cf. http://lachute.over-blog.com/2020/11/elections-usa-les-fraudes-sont-apparemment-massives.html), en particulier quand les changements brusques ont été faits en moins d’une minute comme l’ont remarqué les internautes : Devant la détermination de Trump et les nombreuses fraudes et irrégularités dans le comptage des votes relevées par son staff (https://www.trumpfrance.com/single-post/la-liste-des-fraudes-d%C3%A9mocrates), presque tous les élus républicains se sont alors rangés derrière lui. A mesure que des révélations et témoignages sur la fraude se manifestent, ses supporters augmentent et le poussent à aller à fond pour mettre la lumière sur l’affaire : quasiment tous les gouverneurs et magistrats régionaux RP, quelques personnalités DC dont un ex-gouverneur de l’Illinois au nom d’une démocratie saine, ainsi bien sûr que tous ses fans qui manifestent et cotisent pour payer ses frais de justice estimés à près de 100 millions USD. Si les autorités compétentes américaines ne règlent pas tous les points litigieux dans la plus grande équité, quel respect aurait-on pour ce grand pays dont les haut-placés peuvent se comporter comme dans une république bananière ou pire, comme dans un régime communiste où les élections truquées n’en ont plus que le nom ? Les témoignages de fraude recueillis par l’équipe des avocats de Donald Trump abondent. Rien que pour un comté, celui de Wayne au Michigan, leur consignation remplit jusqu’à 234 pages brandies le 10/11 par l’attachée de presse de la Maison blanche Kayleigh McEnany en réponse à un journaliste DC sceptique (à noter que juste avant cette réponse le reportage a été coupé par les principales télévisions, pour laisser le spectateur dans l’idée que les preuves n’existent pas). Et ils s’avèrent ahurissants : vols, mises au rebut, substitutions et bourrages de votes illégaux (il s’agit de votes par courrier que les DC ont préconisé sous prétexte de covid à l’encontre des RP qui les savent propices aux fraudes) se portant au total sur des millions de bulletins dans presque tous les Etats, faisant voter des dizaines de milliers de morts, certains depuis un siècle, des non-inscrits, des sans-papiers et des partis ailleurs, voire des nouveaux nés ; nombre de bulletins supérieur au nombre des inscrits, manipulations informatiques. Sont mises en accusation pour ce dernier genre de fraude les sociétés Dominion voting systems et Smartmatic qui gèrent dans 28 Etats le vote et le comptage avec le logiciel Scytl, non sécurisé et piratable de loin (cf. https://greatgameindia.com/dominion-voting-systems-rigged-us-elections/ ) ainsi que les logiciels Hammer et Scorecard (créés par la CIA pour les utiliser contre les ennemis des USA) qui programment la triche. Des experts ont analysé les schémas du comptage des votes pour en souligner les anomalies et les défis aux lois des mathématiques et de la statistique (https://lesobservateurs.ch/2020/11/14/etats-unis-la-plus-grande-fraude-electorale-de-lhistoire/) . A dire que le fameux « lapsus » de Joe Biden dans une interview télévisée du 24/10 sur Pod save America (« Nous avons mis en place l’organisation de la fraude électorale la plus vaste et la plus inclusive de l’histoire » est en fait un aveu (cf. https://www.valeursactuelles.com/monde/video-biden-se-vante-davoir-mis-en-place-lorganisation-de-fraude-electorale-la-plus-vaste-et-la-plus-inclusive-de-lhistoire-124993). Bien entendu, les anti-Trump, américains comme étrangers, nient d’une seule voix toute fraude, au moins de grande envergure, et continuent de considérer Biden comme le vainqueur attitré des élections. En Europe où la plupart des dirigeants trop liés à la Chine espèrent la victoire de Biden par détestation de Trump et de sa politique anti-Pékin et « America first », les media principaux s’en donnent à cœur joie pour taper sur Trump et louer la future administration Biden-Harris, sans prendre la peine de puiser leurs informations ailleurs que chez les media « soviétisés » américains dont ils embrassent les informations partiales, devenues mensongères à force d’atteinte à la déontologie de leur profession. En France, seul F.O. Giesbert a sauvé l’honneur en faisant son mea culpa sur i24 pour son manque de discernement et d’équité dans la relation des faits (cf. https://odysee.com/@MKWhiteRabbit:3/Franz-Olivier-GIESBERT.Un-Journaliste-dans-les-choux-qui-tente-de-retourner-sa-veste.:9 ). La décadence de la presse traditionnelle occidentale causée par une politisation extrême, en l’occurrence en faveur d’une idéologie gauchiste et mondialiste, a fini par la décrédibiliser aux yeux d’un nombre de plus en plus grand de lecteurs qui se tournent progressivement vers les média marginaux, taxés par les media traditionnels de complotistes ou extrême-droitistes. Il n’empêche qu’écoeurés par les mensonges et omissions des media « mainstream », les Américains soucieux de connaître les dessous de l’élection ou autre chose que la version orientée de ces derniers se sont jetés sur Newsmax, une petite chaîne TV qui a eu le courage de ne pas courir après Biden le 4/11, laquelle est devenue du coup la station d’info la plus écoutée des USA, dépassant tous les Fox News, CNN et Cie. Bref, les accusations de Donald Trump sont fondées (cf. https://odysee.com/@Cincinnatus63:e/Fraude-d%C3%A9masqu%C3%A9e-des-%C3%A9lections-am%C3%A9ricaines,-r%C3%A9v%C3%A9lations:7 ). Mais avant le recours auprès de la Cour suprême fédérale, il lui faut d’abord passer par les cours suprêmes des Etats frauduleux qui rejettent systématiquement ses accusations et ne procèdent qu’à des corrections ponctuelles quand le témoignage est trop patent. Pour économiser le temps et l’argent, il n’a déposé les plaintes que dans six Etats bascules (swinging states) : Arizona, Georgia, Michigan, Nevada, Pennsylvania, Wisconsin. En attente des décisions judiciaires et des vérifications et recomptages éventuels réclamés par les plaignants (en dehors de Trump et son équipe, de nombreux citoyens dont les votes se sont volatilisés, ont été réassignés ou usurpés, ont aussi déposé des plaintes pour fraude en leur propre nom). Pour Trey Trainor, le président de la Commission électorale fédérale (FEC), rien que le fait que les représentants RP aient été refoulés dans de nombreuses salles de vote et n’aient pas pu observer le dépouillement est déjà un signe de fraude ; par suite, la masse des témoignages assermentés qu’il a pu examiner l’ayant convaincu de l’existence de cette fraude, il réclame que transparence soit faite sur l’élection afin que soit assurée « la légitimité de la présidence (cf. https://www.theepochtimes.com/there-was-in-fact-fraud-that-took-place-fec-chairman-trey-trainor_3588656.html). Même si Donald Trump a toutes les preuves suffisantes pour gagner son procès auprès de la Cour suprême fédérale, le processus est long. A la date du 14/12, jour de la réunion du collège des grands électeurs, si l’affaire n’est pas réglée, si les contestations persistent et qu’aucun candidat n’a obtenu officiellement au moins les 270 points requis, l’élection du président revient à la nouvelle chambre des députés, lesquels choisiront un représentant par Etat et sera président celui des deux candidats qui aura la majorité des voix (au moins 26) de ces représentants. Quant au vice-président ce sera celui ou celle qui aura la majorité des voix du nouveau Sénat. Mais si même alors une majorité n’est pas réunie et que la contestation perdure ? Le cas ne s’est jamais présenté, mais on suppose que la Cour suprême fédérale aura son mot à dire. Cependant on ne risque pas de voir les événements aller jusque-là, parce que le camp Trump semble avoir réuni des preuves solides à l’appui de ses plaintes. Dans leurs dernières déclarations, les principaux avocats qui travaillent à démontrer la fraude, Rudolph Giuliani, Lincoln Wood et Sidney Powell (cette dernière ne fait pas partie de l’équipe officielle des avocats de Trump, mais poursuit le même but avec son mouvement « We the people ») font même état d’une fraude générale, organisée par le parti démocrate avec la connivence des media et des groupes d’intérêts de gauche, démontrée par une montagne de témoignages et de preuves dûment certifiés. Sans cette fraude, disent-ils, Donald Trump l’aurait emporté haut la main, bien loin devant Joe Biden. Comme il faut s’y attendre, tous les media traditionnels du monde se sont moqués d’eux en traitant leurs propos de fous et de ridicules. Sauf que Sidney Powell et Lincoln Wood sont des avocats respectés pour leur compétence et leur sérieux et ne se mettent pas à engager leur réputation pour des affirmations sans fondement. (cf. https://www.breitbart.com/politics/2020/11/16/sidney-powell-lin-wood-promise-theres-). D’ailleurs ils ont promis de publier en ligne les preuves dans les semaines à venir après le dépôt des dossiers à la Cour suprême fédérale. A mesure que l’enquête avance, des faits énormes sont mis à jour et suggèrent, selon les avocats susdits, l’ingérence des pays étrangers tels que la Chine (par son financement et l’impression des faux bulletins de vote), Cuba et le Vénézuéla (dans leur lien avec le logiciel Scytl qu’utilisent les tabulateurs de Dominion voting systems, une entreprise canadienne qui gère l’élection dans 29 Etats) ; ce logiciel inventé par trois Vénézuéliens afin de faire triompher Chavez et Maduro, appartient à une entreprise espagnole en faillite depuis 6/2020 et rachetée ensuite par le groupe Paragon, dont le serveur installé à Francfort (Allemagne) a été saisi par un commando de militaires US pour être étudié par les experts. Comprenant son méfait dévoilé, le PDG de Dominion n’a pas osé se présenter à une audition devant le parlement de Pennsylvania le 19/11 ; son Directeur stratégique Eric Coomer, chargé de la gestion des machines électorales s’est enfui cependant que ses bureaux de Toronto et Denver ont été vidés et fermés, ses employés devant effacer toutes leurs traces sur LinkedIn (cf. https://www.bitchute.com/video/K7B8yz83DV4f/ 11.3-12.36) ! La débandade de Dominion prouve qu’il a beaucoup à se reprocher et que les preuves détenues par l’équipe de Trump existent bel et bien. Ne peut être écartée une connivence du FBI et de la CIA qui ont donné le satisfecit à une compagnie étrangère chargée de gérer l’événement le plus important de la vie politique nationale. Comment les media traditionnels peuvent-ils continuer à propager leurs fake news sur la régularité des votes et se moquer des demandes de vérifications à moins d’être complices de la fraude ? Ils croient s’en tirer et tromper l’opinion par le quasi contrôle des informations à l’échelle mondiale et gagner la partie en forçant l’adhésion devant le fait accompli de l’intronisation de Biden comme de sa reconnaissance par les gouvernements étrangers. Un véritable coup d’Etat mediatico-high tech en somme. C’est compter sans la détermination d’aller jusqu’au bout de Trump et sa popularité inouïe auprès de son peuple (selon ses avocats et ses experts, le vote réel en sa faveur s’élèverait à 400 points avec près de 100 millions de voix, des chiffres jamais atteints et rêvés dans l’histoire des USA) dont des milliers continuent à manifester pour le soutenir dans tous les Etats. Pour l’honneur des Etats-Unis et le rétablissement de la confiance du peuple en ses représentants, la Cour suprême fédérale doit ordonner une enquête approfondie pour établir la justice et effacer tout soupçon de fraude électorale impunie. Pourquoi aussi une telle haine pour un homme qui n’a jamais fait de la politique avant 2015 mais s’est révélé un bon président comme l’a reconnu le journaliste Scott Jennings de CNN ? Ce ne peut être sa personnalité tranchante que l’on peut ne pas aimer, mais de là à le haïr et vouloir le détruire coûte que coûte ! Ce doit être sa tenace intention d’assécher le marécage (drain the swamp) qui touche aux intérêts et surtout à la sécurité (risque de prison) d’une élite corrompue plus ou moins achetée par Pékin. En devant lutter contre une coalition de toute la gauche mondiale, (du centre à l’extrême), des géants du Net et de la haute finance, il a transformé nolens volens son combat en conflit idéologique entre les défenseurs du monde libre classique fondé sur la famille et le patriotisme (make America great again) dont il est le champion et les partisans de la mondialisation et de la grande réinitialisation (the great reset), hostiles de ce fait à sa politique nationaliste et volontiers amicaux avec les régimes communistes dont il est le grand pourfendeur. Pour nombre des fans de Donald Trump, chez les esprits religieux et les peuples sous des jougs tyranniques, son combat est même une lutte entre le Bien et le Mal, au point que certains l’élèvent au rang d’envoyé de Dieu comme par exemple les Amish qui sont sortis de plusieurs siècles d’isolement social et politique pour défiler à cheval ou en carrioles sur les routes en sa faveur sur la foi d’une interprétation de la bible. Attendons de voir si leur foi suffit à émouvoir la Justice. |